Le CRDI (Canada), L’UCA (Université Cadi Ayyad), l’UQAT (Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue), GEODERIS (France), le BRGM (France), l’INSA-Lyon (Institut National des sciences appliquées) et l’ENIM (Ecole Nationale de l’Industrie Minérale) organisent conjointement à Marrakech (Maroc), en avril 2012, un congrès international sur la problématique de la gestion de l’après-mine, les sites et les vides miniers abandonnés.
A ce propos, le Maroc mondialement reconnu en tant que nation à longue tradition minière se doit, tout comme tous les pays émergeants, de faire face à ce long héritage par une gestion intégrée et rationnelle des déchets miniers. La problématique à débattre est complexe et couvre plusieurs volets : scientifique, technique, sociétal, juridique et économique. Le dit congrès dont les assises se dérouleront à la ville séculaire de Marrakech du 3 au 6 avril 2012 vient couronner les importants échanges qui se sont créés entre les universités et leurs partenaires socio-économiques. Et ce, grâce à leur rayonnement scientifique à l’international.
Le congrès de Marrakech se veut aussi comme le lieu d’un échange Nord/Sud entre les expériences menées dans différents pays et les solutions préconisées. Quels outils sont à mettre au point pour répondre à quel type de problème et avec quelles incidences? Les solutions préconisées doivent s’inscrire dans une démarche de développement durable, en appui à une politique de bonne gouvernance.
Autant de sujets soulevés qui ont amené les organisateurs du congrès à relever ainsi le challenge de l’instauration d’un échange fructueux ouvert à tous, en offrant les conditions d’un rassemblement d’experts, de chercheurs et de décideurs de haut niveau dans un bel environnement que celui de la ville ocre Marrakech.
Laisser un commentaire